[Jeu] De qui est cet extrait ?

[Neluge]

La guerre éternelle? J'hésite avec étoiles garde à vous ou Le vieil homme et la guerre:)

Bravo, c'est bien La Guerre Éternelle de Joe Haldeman ! À toi !

[Charly Dean]

Plan serré: la salle de bains. Marylin referme le petit battant de la pharmacie et regarde son reflet dans le miroir. Le Rimmel dessine deux couleurs noires sur ses joues. Elle fait volte-face, sort de la pièce.
Plan d'ensemble, grand angle : la chambre. La silhouette en peignoir, chevelure blonde peroxydée formant un casque, se laisse tomber sur le lit. On dirait qu'elle sanglote.

- Caméra 1, aboie Ted Fielding dans son micro-oreillette. Zoom avant.
Nerveux, il tapote du doigt sur son pupitre. Il sait que le direct ne pardonne pas. [...]

[Erestor]

Ça pourrait être du James Ellroy genre American Tabloïd, ça...

[Charly Dean]

Non. C'est un auteur contemporain bien d'chez nous, dont le nom surprend toujours les gens:)

[Charly Dean]

J'avance un peu ...

- Faites gaffe, finit-il par articuler, il y a des ..
- Ouais, on est au courant, le coupa Mitch.
- C'est... c'est quoi, ces armes secrètes ? s'impatienta Connelly.
- Des robots, marmonna l'historien. Des robots d'apparence humaine. Leurs systèmes de commande sont centralisés vers la tête. C'est là qu'il faut viser. Mais je doute que des balles normales puissent percer leur blindage.
- Des robots ??? Vous vous moquez de moi?
- Vous avez bien vu le Boche se relever, non? Vous avez vu le métal, là où il y aurait dû y avoir du sang!

[Charly Dean]

Crotte. J'ai cassé le jeu?
L'auteur est l'homonyme d'un acteur célèbre, mais qui n'est pas de "l'Académie Française".
Je mettrais un dernier indice demain pour ne pas bloquer le jeu alors

[lepropre]

C'est Christophe Lambert : La Brèche

[Charly Dean]

Un très bon livre pour lire rapidement une histoire bien fun!
Bravo !
Je te passe la main :p

[lepropre]

Voici l'extrait :

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la plupart des gens ne cherchent pas réellement la bagarre, en particulier lorsque règne un équilibre entre les forces en présence. Une foule en colère mettra en pièces un individu isolé, et un homme armé d'un pistolet et d'une noble cause se fera un plaisir de tuer un maximum de femmes et d'enfants. Mais prendre le risque d'un combat à la loyale ? Pas si facile. Il n'y a qu'à observer ces ados furax quand ils se livrent à leur petit manège : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! » disent-ils, tout en espérant farouchement que quelqu'un sera là pour leur obéir. Tout le monde est bien content de voir la police arriver, parce qu'on leur sauve la mise, que ça nous plaise ou non.

[Charly Dean]

Je connais pas le livre, c'est sûr. Mais pourrais-tu donner des indices pour ressusciter le jeu, steuplait?

[lepropre]

Oups pris dans un déménagement j’ai un peu zappé.

— Travaillez encore deux heures et arrêtez-vous, dit Nightingale. Ensuite, laissez s'écouler au moins six heures avant de relancer ce sort.
— Je ne suis pas fatigué, vous savez. Je peux continuer comme ça toute la journée.
— Si vous y allez trop fort, il peut y avoir des conséquences », m'informa mon supérieur.
Je n'aimais pas du tout ce que je venais d'entendre.
« Quel genre de conséquences ?
— Attaque, hémorragie cérébrale, anévrisme...
— Comment savoir si on a un peu trop forcé ?
— Si vous avez une attaque, une hémorragie cérébrale ou un anévrisme, c'est mauvais signe.»

[Léonard]

Ça me dit quelque chose...
Ben Aaronovitch ? Les rivières de Londres ?

[lepropre]

C’est ça

[Léonard]

Premier extrait :

Je suis monté dans ma chambre et me suis étendu sur le lit. L'endroit sur ma plante de pied où s'était logé le ver palpitait et me lançait, et j'avais mal à la poitrine, aussi, à présent. Je me suis retiré dans ma tête, dans un livre. C'est là que j'allais chaque fois que la vie se montrait trop dure ou trop inflexible.

[Léonard]

Deuxième extrait :

La mare était plus réduite que dans mon souvenir. Il y avait une petite remise en bois sur l'autre berge et, au bord du sentier, un antique et lourd banc de bois et de métal. Les lattes écaillées avaient été peintes en vert quelques années plus tôt. Je me suis assis sur le banc et j'ai fixé le reflet du ciel dans l'eau, l"cule de lentilles d'eau sur les bords, et la demi-douzaine de nénuphars. De temps en temps, je jetais une noisette au milieu de la mare, cette mare que Lettie Hempstock appelait...