A quoi tu joues cette semaine, mon petit ?

Critiques de Jeu, Comptes rendus et retour d'expérience
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Go@t
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Message par Go@t »

Cuchulain a écrit :Oui mais par exemple : les compétences ne sont pas les mêmes, tu as mis le principe de spécialisation après 5 rangs etc. ;)
J'ai téléchargé ce que tu as mis à dispo sur ton site (et ce que tu conseilles : le site de je sais + qui avec des adj top moumoutes pour le dk) et après lecture je reste sur du Dk² sans modifs (enfin le dk kool après je vais sans doute prendre quelques dk krunchs).

On peut en discuter sur un sujet dédié si tu veux ? :)
Oui, on en parle là. :P

Pour la liste des compétences et les branches de compétences, en fait j'en reviens: trop lourd pour la fiche de perso. je pense au final faire ce qui est indiqué dans le Dkrunch de la fin du bouquin: compétence très généraliste et spécialités qui filent 2dKs sur le jet. globalement, il faudra juste utiliser certaines compétences en plus (insulogie pour déterminer où se trouve un archipel, traceux pour décrypter uen carte, etc) qui sont liées à l'univers. En gros, il y aura 4 compétences incontournables même si tu restes en dK² "classique". Idem pour la réputation : je vais revenir à ce qui est indiqué dans le bouquin, plus simple et plus clair, en pondant juste un chapitre détaillant un peu plus la réputation, les contacts, etc. Mais le côté technique est déjà dans le dK², en fin de compte.

Le reste ne sera que du cosmétique et toutes les aides de jeu auront les deux formats techniques : "mon" dK à moi (avec toutes les modifs) et le dK classique (dKool sans Dkrunch hormis les 4 compétences supplémentaires inéluctables), pour que ce soit accessible à tout le monde (langage universel + mon dialecte quoi ;) ).

Voilà, j'arrête de vouloir trop customiser mon dK et je reviens à un truc plus "universel" et compréhensible rapidement. :P Mais ça prend du temsp (et ça saoule un peu lol). Je cherche d'ailleurs des gens pour m'indiquer les nedroits où je dois mettre les caracs en "langage universel". si ça te dit de faire relecteur bénévole... :roll:
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XO de Vorcen
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Message par XO de Vorcen »

Hier soir suite de notre L5A. Résumé rapide : notre enquête puant trop la conspiration contre l'empire, nous avons référé au magistrat d'émeraude (juge local) qui a référé au pouvoir central. Suite a cela un envoyé impérial débarque. Dans un entretien en fin de matinée il nous a clairement dit que
1) nous continuons notre enquête
2) nous référons directement à lui et au daïmo du clan du scorpion, plus au magistrat d'émeraude.

Lors du banquet de réception le soir, notre "gentil" magistrat d'émeraude "que nous aimons tout plein" pousse l'un de nous au faux pas diplomatique en l'incitant fortement a aller faire le rapport de nos investigation de l'après-midi alors que nous en sommes à l'apéro. :grmbl: Dans le banquet qui suit, nous sommes positionnés bien plus haut que notre rang. Exposés ainsi au vu du gratin à pêter plus haut que notre cul (bien malgré nous), nous ressentons une certaine communion d'âme avec les chèvres servant à appâter les tigres. :cry:

Le lendemain matin nous nous rendons dans un quartier d'artisans/de docks. L'ambiance est malsaine, les roturiers nous manquent de respect. Malgré notre indignation, nous arrivons à empêcher notre samuraï du dragon de sabrer l'impudent afin d'enquêter plus sereinement. Les gens sont fermés, hostiles, au bord de la rebellion. Nous marchons sur des oeufs. Alors que j'interroge un artisan, un cri d'horreur retenti. Nous acourrons aussitôt pour voir une femme effondrée par la découverte d'un corp, un véritable massacre qui est la signature de l'homme que je traque (un criminel notoire - je suis chasseur de prime Tsuruchi) et qui semble dirigé ou du moins en lien avec une cellule de conspirateurs maffieux. La foule commence à s'assembler hostile. Avec diplomatie et un discours enflammé disant que nous chopperons le coupable et le ferons payer, nous arrivons à disperser la foule hostile mais nous constatons la présence de meneurs, de chauffeurs qui eux semblent se réjouir. Visiblement quelqu'un cherche à fomenter une insurrection et nous semblons avoir réussi désamorcer temporairement la foule. Interrogatoire public du responsable du quartier en attendant l'arrivée des gardes et de la civère que nous avons envoyé chercher. J'en profite également pour retourner voir l'artisan que j'interrogeais un peu plus loin. Puis je retourne sur place. Sur le chemin j'entend de l'agitation, des cris provenant de la scène du crime et je remarque des personnes planquées à proximité, toutes armées d'outils. J'estime entre 20 à 50 si tout le périmètre est bouclé. A notre grande consternation, le magistrat en personne s'est déplacé avec 10 gardes et même une enquête autoritaire et arbitraire. Conscient d'être surveillé je l'informe courtoisement que ce meurtre est lié à notre enquête. Il m'ordonne de faire un rapport. Je lui fait courtoisement remarquer que nous avons tous reçu des ordres supérieurs n'allant pas en ce sens. Il nous ordonne sèchement d'aller faire notre rapport à l'émissaire impérial en ce cas. Nous tournons donc les talons et remontons la rue, passant le cordon d'insurgés planqués que je signale à mes collègues.

Qu'allons nous faire ? Laisser le magistrat se faire écharper (ô combien réjouissant mais peu honorable) ? Prévenir la garde contre laquelle j'ai des suspiscions ? L'armée ? Revenir combattre les insurgés ?

Je sens que notre forum va flamber en attendant la suite la semaine prochaine :mrgreen:
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Cuchulain
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Message par Cuchulain »

Go@t a écrit : Voilà, j'arrête de vouloir trop customiser mon dK et je reviens à un truc plus "universel" et compréhensible rapidement. :P Mais ça prend du temsp (et ça saoule un peu lol). Je cherche d'ailleurs des gens pour m'indiquer les nedroits où je dois mettre les caracs en "langage universel". si ça te dit de faire relecteur bénévole... :roll:
Yep ! Envoie moi ça à he bourgade at yahoo point fr tout attaché. ;)
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Ange Gardien
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Message par Ange Gardien »

Warhammer, joueur, Repose sans paix.

Y a vraiment, vraiment, vraiment des ploucs dans certains villages de l'Empire.
Le pj de ma femme se retrouve plus ou moins sous l'emprise d'un masque qui lui permet de se transformer en un animal (celui de son choix, elle a longtemps hésité entre la grenouille et le lynx).

Mon pj est parti pour ne jamais arriver à avoir une carrière avancée. Mon pj, d'ailleurs, c'est deux pjs.
Lui et sa soeur jumelle. Chacun joue un jour.
Ca fait bizarre d'explorer la psyché de deux persos différents (même si la fiche est la même à l'exception des modif raciales elfe ou demi-elfe demi-nain).
L'elfe apprentie sorcière amnésique est branchée magie et social.
Le demi elfe est branché nature et ne sait pas s'il veut devenir initié ou prendre une carrière permettant de faire soit duelliste, soit champion de justice. Dans l'idéal il aimerait initié. Mais comme sa soeur ne fera pas de carrière martial, ca va être dur d'être non combattant dans un groupe pas axé au contact.

Je crois que c'était ma dernière partie avant le départ en Australie.
Grmbl.
Je vais prendre un jeu pour les vacances ou l'avion mais en solo, c'est pas pareil.
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Hudson
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Message par Hudson »

Demain, cthulhu Fin des Temps.
J'ai hâte d'être fou / dévoré :bravo:
Le monde se divise en 2 catégories :
Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent...

Toi...tu creuses 8)
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Mickey
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Message par Mickey »

A la demande de 2 amis d'antan, dont ca faisait des lustres que l'on avait pas joué ensemble, j'ai masterisé hier le scénar de Deadland dont j'avias fait un CR il y a quelques semaine (celui là), sauf que là, je n'ai pas mentionné le jeu (pour garder un peu de surprise sur l'aspect fantastique) et je l'ai motorisé en dK².

Ils étaient 2, je leur ait donné une version retravaillé de nos persos de campagne.
Ca s'est très bien passé, le dK² colle bien à ce pulp là aussi.
La foultitude de fausses pistes les à un peu perdu, mais bon an mal an, j'ai maintenu le rythme et le final dans les marais à vu s'enchaîner l'attaque des épouvantails, un combat contre le toubat maudit chez lui, pour finir sur le sauvetage in extremis de Strickwood en prise à une sorcière vaudou qui créa la surprise: c'était la bonne derrière tout ca!!! :o

Très cool donc!
"L'Homme avance la tête en l'air, et finit par marcher dans la merde"
"L’imagination nous emmènera souvent vers des mondes qui n’existent pas, mais sans elle nous n’irions nulle part" C. Sagan
Ma collec' JdR, mon Senscritique & Une bonne action pour le Burkina Faso
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Ange Gardien
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Message par Ange Gardien »

Hum...
Il est temps de marquer une fin de saison pour laisser le temps aux hobbits de se reposer et au narrateur de partir en Australie.
Ce qui me met en joie, c'est que la vidéo a été fait il y a 8 ou 9 jours avant que trois ou quatre jours plus tard une occasion planescape ne se fasse sur ce forum.
Les joies de la synchronicité, pitin.
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Merlock
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Message par Merlock »

Bon! Voici le CR de la dernière partie en date de la suite du scénario Cthulhu+Adventure! ("Cthulhutures " ?) basé sur La Commanderie de New Sorans.

INTRODUCTION.

L'action continue à Boston, nous sommes le vendredi 08 février 1920.

Nous retrouvons Emmeline Brown (Miss NomImprononçable) et Amelia Matthews (Peppermint), nos deux associée de l'Agence de détective Brown&Matthews, la première agence de détectives presque 100% féminine de New York. Et Angus O'Donnel (Mister R), leur ‘‘employé garde du corps’’.


ACTION !!!

Nos PJs sont à l’Hôtel ‘‘Blue Swan’’ de Boston, lorsqu’ils reçoivent un message que l’inspecteur Masterson (cf. Episode précédent) les attend dans le hall. Les pj s’y rendent et… rien !!

Devenus méfiants en raison de l’implication de la Mafia New yorkaise dans le scénario précédent, les PJs se mettent à surveiller les alentours, tandis que, mu par une intuition subite, Angus O'Donnel se rue vers leur chambre par l’escalier extérieur, afin d’y surprendre un éventuel visiteur. Surprise ! Il y a quelqu’un. Angus O'Donnel fonce à travers la vitre de la chambre et braque… une femme de ménage de l’hôtel, terrifiée !

Hum….

En fait, l’inspecter Masterson se trouvait dans le restaurant à prendre un café en attendant les PJs…

Re–hum…

L’inspecteur Masterson est venu demander des précisions quant aux dépositions des PJs enregistrées la veille au commissariat. Il laisse entendre que leurs déclarations ne concordent pas sur tous les points avec celle de Charles Brampton (cf. Episode précédent). Face à leur mutisme il n’insiste pas, mais regarde avec insistance l’amis Angus O'Donnel, sur le thème visuel de ‘‘je sais qui tu es, mais je n’ai pas de preuves…’’.

Ce même Angus O'Donnel a contacté Ronald ‘‘Ron’’ Lepker, le rédacteur en chef du Boston Globe. Il lui apporte des nouvelles de son journaliste Jason Grant, qui enquêtait sur l'affaire du trafic d’antiquités partiellement résolue par les PJs… Angus lui remet les derniers ‘‘papiers’’ du journaleux et commence à se renseigner sur l’endroit où trouver le professeur Henry Jones Sr, professeur d’université et érudit médiéviste de talent…

Ce n’est guère difficile : une série de papiers sur les comptoir de la réception de l’hôtel annonce que ledit professeur donne une série de conférences sur divers thèmes médiévaux à l’Université de Boston, dont une précisément ce soir.

Armée d’un téléphone et d’une voix à la suavité incontestable, Amelia Matthews déniche notre digne professeur à l’hôtel ‘‘Old England’’ et obtient un rendez-vous à 11H le jour même au Greek’s, un café à étudiants de style ‘‘gréco’’ situé en face de l’Université.

Nos PJs s’y rendent, avec un Angus O'Donnel totalement aux aguets dans le plus pur style ‘‘anti-filature’’ parano… Le fait est que l’établissement est bondé, doté de larges vitrines en coin de rue et ne se prête pas du tout à un entretien discret. Le Professeur Jones s’y trouve déjà, plongé dans un livre en vieux cuir, il ne les voit même pas entrer…

Les PJs entament la conversation à propos des évènements de New Sorans et profitent du repas pour transmettre à M. Jones une invitation de la part de Josuah Manning pour expertiser les pièces restantes au musée et séparer les vraies des fausses. Le professeur Jones accepte, mais est très attristé par le décès d’une jeune fille, et le trafic d’œuvres d’art. Toutefois, il manque de s’ébouillanter avec son café renversé quand il apprend que le Manuscrit de Saint Marc se trouve parmi les pièces volées.

Selon lui, le Manuscrit de Saint Marc est un ensemble de documents possédés par l’Apôtre et évangéliste Saint Marc, qui a amené la Christianisme en Afrique. Ce manuscrit contenait une lettre d’introduction de l’Empereur de Rome Tibère en personne et aurait accompagné l’apôtre jusqu’en Asie Mineure et Rome. C’était une sorte de ‘‘déclaration d’intention’’, mais surtout un évangile perdu et ‘‘effacé’’ par le Concile de Nicée en 325 ap. JC. D’un point de vie légendaire, on prétend que sa simple vue amenait le païen à se convertir. Après la mort de Saint Marc, on sait encore que ce manuscrit a longtemps été conservé à Chypre mais il est étrange qu’aucune copie n’en ait jamais été faite. Par la suite, il fut oublié. Lors des croisades, l’île fut brièvement possession de l’Ordre du Temple qui l’exhuma et l’emmena. On perd sa trace à cet instant… Bref ! C’est une pièce d’une valeur inestimable à tous les égards…

Durant cette conversation, Angus (en planque à l’extérieur) découvre un curieux ballet de voitures qui passent et repassent apparemment de façon anodine : une Pontiac Bleue, une fourgonnette Packard rouge bordeaux, puis une camionnette Ford. A l’intérieur, des types à chapeaux mous, mâchoires carrées et mines patibulaires…

Intrigués, craignant un enlèvement du Professeur Jones (qui l’air vraiment dans la lune), le PJs décident de le suivre, poussant le vice jusqu’à assister à un de ses cours à l’Université de Boston. A cette occasion, ils rencontrent l’inénarrable Marcus Brody lorsqu’il se prend les pieds dans la porte de l’amphithéâtre et le regard dans le décolleté d'Amelia…

Ceci amène nos PJs à accompagne Jones et Brody dans un restaurant français de Boston (‘‘Chez Marcel’’) qui sert de délicieux ortolans. Toujours sur le qui-vive, Angus découvre que la surveillance mystérieuse est toujours là. La preuve : un des passagers de la Packard rouge bordeaux le photographie au passage !!!!

Suite à cela, les PJs changent d’hôtel pour se rendre au ‘‘Old England’’ où réside Jones, grâce à Amelia Matthews et sa capacité à hypnotiser n’importe quel mâle dans un rayon de 50 mètres, les PJs parviennent à loger dans une chambre située en face de celle du professeur. Pourtant, le week-end se passe sans incident et le lundi 10/02/1920, tous prennent le train à destination de New Sorans.



PASSAGE EXPRESS À NEW SORANS.

Une fois sur place, ils sont accueillis au sortir de la gare par William Nelson, le secrétaire particulier de Josuah Manning, venu en voiture chercher le Professeur Jones. Il signifie aux PJs que Mr. Manning ‘‘a été très satisfait d’eux’’, leur signe un chèque somptueux, leur donne des billets de train pour New York et les somme courtoisement de vider les lieux avant de les planter là en emmenant le Pr. Jones…


RETOUR A NEW YORK.

Dépités, les PJs arrivent à New York, à la gare Grand Central Terminal. Et dans le hall d’arrivé, surprise ! Qui est là ? Ni plus ni moins que l'inspecteur Abraham Randolf de la Criminelle, le type qui les avait mis sur le coup de l’affaire Manning.

Sans autre forme de procès, il les embarque en voiture (de police !), pas au commissariat (d’ailleurs il est seul), mais bien au Shamrock un très grand pub irlandais à plusieurs étages où la clientèle semble exclusivement masculine, rousse et grande buveuse de Guinness… Randolf amène directement les PJs dans une pièce discrète du deuxième niveau, ouverte pour l’occasion par le patron qui ne fait même pas mystère de son soutien à l’Irish republican Brotherhood.

Là, Randolf entreprend de ‘‘débriefer’’ les PJs. Il leur explique que les ‘‘enculés de ritals’’ (la Mafia, quoi…) n’a pas fait le rapprochement entre l’arrestation de Charles Brampton à Boston et le fait que Luigi Persanio ait eu le visage transformé en hot-dog et que trois de ses hommes aient été expédiés à l’hôpital. De plus, l’Inspecteur Masterson a ‘‘fait le ménage’’ dans les dossiers de la police de Boston pour en effacer les incohérences et notamment le rôle des PJs dans l’arrestation de Brampton.

Bref ! Ils devraient être tranquille un moment…

Pour être sûr que tout se passe discrètement, Randolf a préféré aller au Shamrock, lieu où il est certain qu’aucun de ces ‘‘enculés de ritals’’ ne mettra les pieds, d’autant qu’il y en a dans la police et qu’il est connu que flics et maffieux se tiennent bien les coudes entre ‘‘enculés de ritals’’, mais qu’au moins les Irlandais savent être solidaires (c’est en tout cas ce que lui disait son rabbin de père –même si le mot ‘‘enculé’’ n’est pas de lui…)

Bref…


INTERLUDE : UNE SEMAINE DE VACANCES.

Pour les PJs, les affaires reprennent ‘‘as usual’’ et c’est une semaine plutôt calme au cours de laquelle Amelia ‘‘filoche’’ un mari soupçonné par sa femme d’avoir une maîtresse. En réalité ses nombreuses absences s’expliquent par l’habitude qu’il a d’aller taper le carton avec ses copains dans un speakeasy de Lower East Side. Sa femme demandera le divorce.
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Mètre étalon du bon goût tholgrenien (de son propre aveu!)
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Merlock
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Message par Merlock »

LE SPECTACLE EST A L’EXTERIEUR.

Le Mardi 18/02/1920 le Metropolitan Opera House (sur Broadway) donne une représentation exceptionnelle (en semaine !!) de l’opéra ‘‘Parsifal’’ de Wagner. Désœuvrées, Emmeline Brown et Amelia Matthews décident d’y assister (Angus préférant passer la soirée à jouer au poker avec Matt Springer dans les locaux de l’agence).

Wagner, c’est bien, mais c’est comme les salles UGC : c’est bruyant et ça donne mal à la tête. Aussi, après la représentation, vers minuit, les deux femmes quittent les lieux à pieds histoire de prendre un peu l’air. Tout en marchant et en tentant de lutter contre cette prégnante envie d’aller envahir la Pologne, elles ne remarquent que trop tard qu’elles sont suivies par des types à chapeaux mous, mâchoires carrées et mines patibulaires…

Ce n’est que trop tard qu’Emmeline et Amelia se rendent compte qu’elles sont coincées sur un trottoir face à six hommes. Amelia sort une arme et les somme de se présenter, mais ils restent immobiles, du vrai marbre. Intrigué par ce manège, un policier new-yorkais en patrouille tente d’intervenir. Un des gorilles lui montre une carte. Le policier salue et s’en va.

Après un moment de flottement, une authentique berline tirée par quatre chevaux s’arrête à leur auteur. Un des hommes fait signe de monter à Emmeline et Amelia, qui s’exécutent. A bord, elles sont accueillies par un très vieil homme qu’elles reconnaissent pourtant : ni plus ni moins que Charles Joseph Bonaparte, petit-neveu de Napoléon 1er empereur des Français, ancien Secrétaire à la Marine (1905-1906), ancien Attorney général des Etats-Unis (1906-1909) et fondateur (en 1907) du Bureau of Investigation, le futur FBI…

A ses côtés, un homme également âgé, mais semblant tout droit sorti de ‘‘la planète des singes’’ : Edward Osterman, alias ‘‘Monk’’ Eastman, un ex-chef d'un gang juif new-yorkais de 1895 à 1911 et ancienne figure du crime new-yorkais. Il reste silencieux.

Charles Bonaparte explique aux PJs qu’il a suivi de loin l’affaire Manning et la façon dont les Pjs l’ont dénouée. Même si les tenants de cette affaire ne l’intéressent guère, en tant qu’ancien Attorney général (et donc ‘‘premier flic’’ des USA) il est furieux que deux policiers (le Shérif Noyes et son jeune adjoint) aient été sauvagement assassinés. Même si c’est officiellement Charles Brampton qui portera le chapeau, il exige de savoir qui les a tués et pourquoi.

De plus, la nuit suivant l'arrestation de Brampton (en fait très tôt à l’aube), cinq agent de la police d’état de New York ont été sauvagement abattus à l’arme automatique lourde alors qu’ils tentaient d’empêcher un avion inconnu de décoller de la plage où il était venu se poser.

Officiellement, il s’agissaient de bootleggers venu déposer en fraude une cargaison d’alcool. Mais l’affaire a fait du bruit dans la presse. Pire : les expertises balistiques prouvent que c’est la même arme que celle qui a servi à tuer le Shérif Noyes et son adjoint. Il fait savoir que la balistique n’est pas science exacte à 100%, mais ici il y assez de matière de travail pour avoir une certitude… De plus le tueur est un tireur d’élite : 20 cartouches de FM tirées pour 5 morts !!

Ne pouvant agir officiellement, Bonaparte propose d’engager les PJs à ses frais : il leur présente un des leurs contrats-types ‘‘prélevé’’ dans leurs propres locaux (note pour plus tard : changer les serrures !), avec un somme impressionnante inscrite en dessous… Il précise que l’enquête se fera ‘‘à l’étranger’’.

Où ça ? Mais en Irlande, bien sûr ! Près de la ville de Cork. C’est effectivement dans un marécage proche que l’on a retrouvé l’épave d’un avion dont la description correspond à celle de l’avion pirate. Mieux : L’un des occupants de l’avion a abattu au FM quatre membres de la Royal Irish Constabulary (RIC)… un signe qui ne trompe pas! Les individus sont toujours en fuite.

Bonaparte insiste pour que les PJs :

- Identifient les individus.
- Lui ramènent le manuscrit de Saint Marc qui appartient ‘‘légitimement’’ à ‘‘une collection privée américaine’’.
- Lui ramènent (si possible) les individus recherchés.
- C’est une opération clandestine menée avec le soutien de l’ONI, pour ‘‘Office of Naval Intelligence’’, les services secrets de l’US Navy qui emploie les braves garçons à chapeaux mous, mâchoires carrées et mines patibulaires de tout à l’heure…
- Ils pourront compter en dernier ressort sur l’Attaché naval états-unien de Cork, le Capitaine de corvette William (Arnold) Reymont. Mais ce serait mieux si cela ne s’avérait pas nécessaire, hein… ?
- ‘‘Bien entendu, si vous être pris, le Département d’Etat niera avoir eu connaissance… etc, etc.’’


Dans le genre d’opération pourrie on ne fait pas mieux : l’Irlande est en plein guerre civile, l’IRA mène une guérilla sans merci contre la RIC et l’armée britannique, le pays est sous loi martiale, les attentats en ville et les embuscades à la campagne sont quotidiens. Et les PJS vont débarquer au milieu de ce joyeux merdier…

Ouais, cool !!!

L’autre impératif c’est d’agir vite !!! En effet, les deux fugitifs ont un océan et 10 jours d’avance sur les PJs. Pour ce faire, Bonaparte a un plan génial (si!) : et les PJs doivent se trouver dans 6 heures devant les chantiers navals de Brooklyn.

Sitôt dit, sitôt fait : le lendemain, à 7H, Emmeline, Amelia et Angus se retrouvent devant la barrière des chantiers navals, gardée par un planton de la Navy et par… ‘‘Monk’’ en tenue d’officier naval !! Celui-ci, après avoir échangé quelques ‘‘souvenirs’’ sibyllins avec Angus leur remet une grosse enveloppe en papier kraft contenant leurs instructions, leur confisque leurs papiers et les fait embarquer, via un canot à moteur, dans un hydravion de la Navy de type Felixstowe F5L modifié pour un raid longue distance (l’objectif officiel est un test d‘endurance pour la Navy afin de tester les possibilités de transport de courrier transatlantique nord par hydravion).

L’équipage comprend 2 pilotes (‘‘Mac’’ et ‘‘Tony’’) et 2 mécaniciens ("Hamp" et "Oscar"). Et le 19/02/1920 à 8H du matin, l’hydravion déjauge.



AVANT, BIEN AVANT LINDBERGH…

D’emblée le vol s’annonce comme tout sauf confortable : De New York à Cork il y a 5 000 km à 125km/h de moyenne, soit 40 heures de vol et un ravitaillement en mer à mi-parcours par le Croiseur Saint Louis (CA-20). Arrivée prévue le 21/02/1920 à 19H, heure locale.

L’intérieur de l’avion est étroit, bruyant, puant l’huile et l’essence et bourré jusqu’à la gueule de bidons de carburant (interdit de fumer !) ce à quoi il faut ajouter le fait d’être secoué en permanence comme dans une essoreuse à salade… L’équipage est heureusement compétent et fort sympathique et sait magistralement utiliser les tuyaux d’échappement des moteurs pour réchauffer le café et les boites de conserve de haricots verts–sauce tomate (ou haricots blancs–sauce tomate, au choix), le tout accompagné de boîtes de sardines à l’huile… Miam !!

Les PJs examinent le contenu de l’enveloppe que Monk leur a remise, elle contient :

- Trois jeux de faux papiers (passeport, permis de conduire, etc…) aux noms de Sarah Connor (Emmeline Brown), Olivia Crane (Amelia Matthews), et Alan Miller (Angus O'Donnel).
- Des faux billets de passage à bord du cargo mixte américain ‘‘Courageous wanderer’’ arrivé de New York à Dublin le 20 février. Et une description exhaustive du bâtiment et de l’équipage (à mémoriser puis à détruire) qui a été prévenu.
- Trois guides touristiques très précis avec l’itinéraire choisi et suivi depuis Dublin (à mémoriser).
- Les instructions de missions, avec lieux de contacts, mots de passe et signe de reconnaissance pour le Capitaine de corvette William Reymont (à mémoriser puis à détruire). Le nom de code de l'opération est PAXTON.
- De l’argent anglais.

Si l’on excepte les désagréments de confort, la première partie du vol et le ravitaillement en mer s’effectuent sans anicroche. Toutefois, 6 heures avant d’arriver à destination, la pompe électrique des réservoirs surchauffe et s’arrête, grillée ! Le passagers et membres d’équipages en auraient été réduits à pomper à la main pour le reste du trajet si notre bricoleuse de génie Emmeline n’avait su effectuer une réparation de fortune sur l’équipement. Et l’hydravion reprend sa route…


IELOSUBMARINE, IELOSUBMARINE !!!

L’hydravion arrive finalement avec près d’une heure de retard sur l’horaire, il fait nuit depuis longtemps. Il amerrit à proximité d’une plage, pas de problème. L’équipage commence à gonfler le dinghy destiner à débarquer les PJs lorsque ‘‘Mac’’, qui surveillait les environs repère… un sous-marin britannique qui sortait de la baie de Cork (qui est une importante base navale, dont de sous-marins). Ce dernier met immédiatement le cap à pleine vitesse sur l’hydravion. D’accord, ‘‘pleine vitesse’’ sur un sous-marin, de 1920 c’est peu, mais il éclaire l’hydravion avec un puissant projecteur. De plus, il commence à canonner l’hydravion, qui est heureusement une cible un peu trop mobile pour lui…

‘‘Tony’’ estime qu’il n’y pas le temps de déposer les passager de façon conventionnelle et joue son va-tout : progressant pas ‘‘bonds dans l’eau’’ vers la crique/plage blottie au pieds des falaises choisie comme point de débarquement, toujours suivi et canonné par le sous-marin. Le problème c’est que Tony st seul ; aux commandes et a besoin d’aide pour les tenir. C’est encore Emmeline qui s’y colle, et à deux ils parviennent à esquiver/survoler de justesse une barrière de récifs se trouvant à fleur d’eau… récifs sur lequel vient s’empaler le sous-marin lancé à leur poursuite, car chacun le sait ‘‘un sous-marin ça freine encore moins bien qu’une savonnette’’…

Fort de ce succès, l’appareil continue en hydroplanant en longeant la plage avec juste assez de lenteur pour que les passagers puissent sauter dans l’eau depuis l’aile droite et amerrir à une vingtaine de mètres de la plage, puis il décolle face au mur gigantesque de la falaise se dressant devant lui. Dans un rugissement de moteurs il saute l’obstacle et disparaît dans la nuit…

Les PJs ont sauté et, coup de bol ! Ils parviennent à éviter le ‘‘grand bain’’ à leurs bagages (et leurs papiers) et rejoignent la plage sans encombre… Ils trouvent un petit chemin qui les fait quitter la plage, via la falaise, transis de froids et se retrouvent en pleine cambrousse irlandaise au sud de Cork…

Ils arrivent à carrefour, profitent d’un ex-voto pour se changer et reprennent leur route. Arrivés à une première ferme à la recherche d’un abri, ils renoncent à y entrer en raison de la présence d’un ‘‘chien’’ de garde que n’auraient pas désavoué les Baskerville. Il continuent dans la nuit et, aux alentours de minuit, parviennent au lieu-dit ‘‘Cloneleigh’’ (en fait un ensemble de ferme assez espacées entre elles) à 2-3 km du petit port de Kinsale. Dans le noir, les PJs repèrent une église, y rentrent et, épuisés, s’endorment dans… le confessionnal !


BILAN PROVISOIRE :

Les PJs sont arrivés en Irlande, mais le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils ne sont pas tirés d’affaire. En dormant ils font tous un rêve : la radio du sous-marin qui a vu l’hydravion est tombée en panne. Ca c’est le rêve. Le cauchemar c’est quand on se réveille…



A suivre.
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Zashiki-warashi
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Message par Zashiki-warashi »

Merlock a écrit :C’est encore Emmeline qui s’y colle, et à deux ils parviennent à esquiver/survoler de justesse une barrière de récifs se trouvant à fleur d’eau… récifs sur lequel vient s’empaler le sous-marin lancé à leur poursuite, car chacun le sait ‘‘un sous-marin ça freine encore moins bien qu’une savonnette’’…
"Navigational Hazard", c'est quand même génial. :mrgreen:
Merlock a écrit :Dans le noir, les PJs repèrent une église, y rentrent et, épuisés, s’endorment dans… le confessionnal !
(Dans la sacristie, repérant des hosties): "C'est bon, les gars, on est sauvés: j'ai trouvé des crackers!" :roll:
... en kilt!

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Message par Merlock »

Zashiki-warashi a écrit :"Navigational Hazard", c'est quand même génial. :mrgreen:
Pour transformer un PJ en danger public ? Certainement... 'vont pas être content à l'amirauté british, mais alors pas du tout... 8O
Zashiki-warashi a écrit :(Dans la sacristie, repérant des hosties): "C'est bon, les gars, on est sauvés: j'ai trouvé des crackers!" :roll:
Mon esprit de bon catholique frémit encore à cette idée... :P
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Message par XO de Vorcen »

Hier soir suite et fin du scénario Légende des Cinq Anneaux. J'ai fini dans le coma (le pnj qui m'a donné un leçon est un malade mental qui espère que je m'améliore afin d'être digne qu'il me fasse la peau).

En tant que buchi, j'ai eu l'impression de jouer de l'épique mais quand je vois les scènes avec les ninjas (quelque soit leur nom, pj ou pnj) j'ai l'impression que eux font dans le super-héroïque. A voir à l'usage.
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Message par djaal »

demain soir je vais voir comment mes joueurs vont faire pour regagner leurs honneurs, récupérer assez d'informations sur leur responsable qui a trahi leur organisation sachant que pour l'instant c'est eux qui sont accusés, en plus on leur a inoculé un virus qui ne leur laisse que quelques heures à vivre et qu'ils se sont fait une tripotées d'ennemis...
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Message par Cédric Jeanneret »

à quel jeu ?
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Hudson
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Message par Hudson »

Cédric Jeanneret a écrit :à quel jeu ?
par rapport à sa signature
MJ Eurydice jeu perso
MJ campagne pbf arkeos
une chance sur 2... arkéos ?

PS: c'est pas mal comme idée de faire deviner le jeu en ne mentionnant que les intentions... :bierre: Quelqu'un d'autre essaye ? 8)
Le monde se divise en 2 catégories :
Ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent...

Toi...tu creuses 8)
Verrouillé