Peu probable. Dans les crayons de bois, il y a des mines...
Le mossad sonne toujours deux fois
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Peu probable. Dans les crayons de bois, il y a des mines...
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Probable qu'ils aient estimé qu'il n'y avait même pas besoin, vu le sort qu'ils réservaient déjà de base à la Palestine. Plus difficile d'infiltrer les chaînes de production quand le Hamas n'en a pas de vraies aussi, énormément de récup et probablement pas de standardisation.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Et surtout que le Hamas, ce n'est pas du ressort du Mossad mais du Shin Bet.....
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
la prouesse opérationnelle est incontestable mais le procédé est quand même assez crade, on a bien vu qu'il y a eu pas mal de victimes collatérales, les explosions ont eu lieu parfois dans des contextes très denses.
Alors bon, ce n'est pas du terrorisme au sens strict car les cibles visées n'étaient pas des civils au hasard, mais on est juste à l'étape d'avant quoi...
Alors bon, ce n'est pas du terrorisme au sens strict car les cibles visées n'étaient pas des civils au hasard, mais on est juste à l'étape d'avant quoi...
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Assez crade, c'est le moins qu'on puisse dire.
Un Etat souverain, par le biais de ses services secrets, effectue des actions meurtrières à grande échelle sur le territoire d'un autre Etat souverain. On est quand même pas bien loin d'un acte de guerre pur et simple.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Mais sur une organisation paramilitaire souhaitant son hannilation.
Hamas/hezbollah même combat je pense pour Israël.
En revanche l'Iran a été prise à son propre piège, le lien hezbollah/Iran à toujours existé mais là l'ambassadeur iranien au Liban fait parti de la première vague de blessé.
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En revanche l'Iran a été prise à son propre piège, le lien hezbollah/Iran à toujours existé mais là l'ambassadeur iranien au Liban fait parti de la première vague de blessé.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
le Zakhan Noir a écrit : ↑ven. sept. 20, 2024 11:00 amAlors bon, ce n'est pas du terrorisme au sens strict car les cibles visées n'étaient pas des civils au hasard, mais on est juste à l'étape d'avant quoi...
Déjà que de base je suis pas trop du genre à féliciter les manœuvres où on tue des gens, je peux a la rigueur comprendre qu'on qualifie de prouesse des frappes chirurgicales assez impressionnantes de précision, ici le côté "on a pas frappé au hasard" est quand même un peu limité quand on voit le nombre d'explosions rattachées à des hôpitaux.
Of course y'en a pour dire que ces hôpitaux auraient servi de bases et postes de soins pour les terroristes, mais ça paraît surtout être des contaminations de la chaîne de production pour tout le pays qui ont engendré ces drames.
J'ai connu la fin de l'époque des bipeurs dans les hôpitaux quand j'ai commencé à bosser. J'ai vu effectivement le genre de trucs cheaps achetés à la chaîne que ça peut être, mais j'ai surtout connu l'angoisse d'être à plus de 2m du machin notamment quand t'es de garde. Beaucoup des médecins et infirmiers touchés avaient probablement aucun lien avec les communications internes du Hezbollah, c'est un de leur outil de travail qui a été weaponizé.
Pas vu grand monde dire "Mais quand même, quelle prouesse organisationnelle" pour le 11 septembre, ou rappeler que l'avion qu'ils ont crashé sur le pentagone visait des cibles militaires ennemies donc lui ça allait...
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
le Zakhan Noir a écrit : ↑ven. sept. 20, 2024 11:00 am la prouesse opérationnelle est incontestable mais le procédé est quand même assez crade, on a bien vu qu'il y a eu pas mal de victimes collatérales, les explosions ont eu lieu parfois dans des contextes très denses.
Pour avoir vu la vidéo d'une explosion dans un marché où le type du Hezbollah est côte à côte avec un autre client : le client juste à côté n'a rien eu = les charges avaient quand même l'air d'être concentrées et correctement dosées pour ne pas rayonner.
Par contre les cas de victimes collatérales, c'est p-e plutôt genre "bippeur posé sur une table, quand il sonne c'est le fils de 12 ans qui le prend pour l'amener à son père".
Tosheros a écrit : Beaucoup des médecins et infirmiers touchés avaient probablement aucun lien avec les communications internes du Hezbollah, c'est un de leur outil de travail qui a été weaponizé.
Non, puisque les bipeurs piégés étaient une commande spécifique du Hezbollah (donc tous les bipeurs piégés ont été ensuite dispatchés uniquement à des membres du Hezbollah). Ce n'est pas du tout (pour ce qu'on en sait) comme si 100% des bipeurs produits sur une période avaient tous été piégés dans l'espoir qu'ils aillent majoritairement à des terroristes : c'est uniquement ceux destinés au Hezbollah qui l'ont été.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Sur France Culture, l'historien Yvonnick Denoël, quelqu'un de sérieux, historien spécialiste du renseignement (et aussi du renseignement au MO)....cela change de ces pseudos spécialistes qui n'y connaissent rien
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Le billet de Goya d'il y a deux jours est intéressant également sur les comparaisons historiques (avec la guerre israël/égypte et l'aspect "actes pour impacter l'opinion publique", d'où le titre du billet "coups d'éclats") :
https://lavoiedelepee.blogspot.com/2024 ... clats.html
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Un de mes tout premiers souvenirs d’images de guerre à la télévision décrivait un raid héliporté israélien sur Ras Gharib, une base au centre du canal de Suez où les Égyptiens venaient d’installer un grand radar d’alerte P12 fourni par les Soviétiques. Dans la nuit du 26 au 27 septembre 1969, un commando porté par trois hélicoptères lourds Super Frelon s’est posé à proximité, s’est emparé de la position par un assaut, puis a démonté le radar en deux parties accrochées à deux hélicoptères lourds CH-65 Sea Stallion. Le radar a ensuite été ramené en Israël et scrupuleusement étudié avec les Américains. Deux semaines plus tôt, les Israéliens avaient réalisé une opération amphibie à travers le canal pour mener un autre raid, terrestre cette fois, sur le sol africain de l’Égypte, avec une unité blindée équipée à l’égyptienne. Encore avant, et jusqu’au mois de juillet 1970, les Israéliens ont ainsi multiplié les opérations spectaculaires, réussissant même une embuscade contre l’aviation soviétique.
J’étais, comme tout le monde, impressionné par l’imagination et l’audace de cette armée, et c’était bien, outre les effets matériels bien réels contre l’armée égyptienne, un des buts de cette campagne de coups d’éclat. L'extraordinaire sert parfois à cacher l'ordinaire. En pleine Guerre d’usure, ces coups d’éclat étaient en effet un moyen de compenser psychologiquement une difficulté réelle à obtenir des résultats décisifs contre l’Égypte. Ils offraient au public israélien des victoires médiatisables dans un conflit qui n’était qu’une multitude de petits coups : frappes d’artillerie et petites attaques d’un côté, frappes aériennes de l’autre, donnant l’impression que la balance penchait du côté d’Israël. Élément important : tous ces coups d’éclat, spectaculaires mais non décisifs, ont précédé et accompagné une vaste campagne aérienne sur le Nil, censée imposer sa volonté à Nasser, mais qui a finalement échoué.
La guerre d’usure en cours entre Israël et le Hezbollah depuis le 8 octobre 2023 présente de nombreuses analogies avec la guerre d’usure de 1969-1970, la frontière libanaise remplaçant le canal de Suez, avec un niveau de violence pour l’instant encore très inférieur. D’un côté, le Hezbollah utilise ses roquettes à courte portée et ses missiles antichars comme artillerie – 7 560 projectiles lancés à ce jour – afin de harceler les positions de l’armée israélienne et de menacer la vie des habitants du nord d’Israël pour les obliger à fuir. Comme les autres groupes armés de la « ceinture de feu » autour d’Israël, le Hezbollah fait acte de solidarité avec le Hamas et répond aux attaques israéliennes qui, elles-mêmes, répondent aux attaques du Hezbollah, mais l’organisation, tout comme l’Iran d’ailleurs, ne veut clairement pas franchir de sa propre initiative le seuil de la guerre ouverte et à grande échelle.
À cet effet, et contrairement à l’armée égyptienne en 1969, le Hezbollah n’a pas engagé son infanterie légère ni ses commandos à l’assaut de la frontière, ni utilisé son arsenal de frappes à longue portée. Il ne veut pas non plus provoquer trop de pertes civiles afin de ne pas donner un prétexte à une offensive israélienne. On est sans doute passé près après la frappe sur le village druze de Majdal Shams le 27 juillet dernier, qui a provoqué la mort de 12 enfants, un résultat que le Hezbollah ne souhaitait pas, et une riposte israélienne douloureuse pour le Hezbollah, avec un ciblage précis au cœur de Beyrouth et la mort de Fouad Chokr, un très haut responsable de l’organisation. Le lendemain, 31 juillet, c’était au tour d’Ismaël Haniyeh, numéro 1 du Hamas, d’être tué, un coup d’éclat encore plus spectaculaire puisqu’il s’est déroulé au cœur de Téhéran. Depuis, l’Iran et le Hezbollah ne cessent d’agiter le spectre de la vengeance, mais ne font rien d’important.
De son côté, comme en 1969, Israël utilise sa force aérienne pour mener des actions de « contre-batterie » et frapper les cibles d’opportunité qui se présentent. Jusqu’à hier, cette « guerre sous la guerre » a provoqué la mort de 50 Israéliens, en grande majorité des soldats, et le départ de 68 500 civils du nord d’Israël (chiffres de l’Institute for National Security Studies, Israël), tandis que 450 membres du Hezbollah et leurs alliés ont été tués, ainsi que 137 civils, et 113 000 Libanais ont été chassés de chez eux.
Hier, les Israéliens, unité 8-200 du renseignement militaire ou, plus probablement, le Mossad, ont prolongé la campagne de coups d’éclat initiée à Téhéran avec une opération inédite : le sabotage simultané de peut-être 4 000 bipeurs, Apollo AR-924 pour être précis, importés de Taïwan afin de constituer le réseau de communications des cadres du Hezbollah. On ignore encore comment les Israéliens, qui n’ont pas revendiqué l’attaque, ont procédé dans ce scénario digne d’un thriller ou d’un film d’espionnage. Les deux hypothèses évoquées donnent le vertige. D’un côté, on pense à un logiciel malveillant (malware) ayant provoqué, après un signal à distance, la surchauffe simultanée de tous les appareils et l’explosion de leur batterie au lithium. Cela signifierait, au bout du compte, que tous les objets électroniques fonctionnant avec ce type de batterie, c’est-à-dire à peu près tous, sont vulnérables à une intrusion. De l’autre, on imagine la manipulation de toute la cargaison destinée au Hezbollah, avec l’introduction d’un petit patch d’explosif stable, et donc non pas le PETN (tétranitrate de pentaérythritol) évoqué par Sky News Arabia, et un flamware provoquant son explosion à partir d’un code. En soi, ce n’est pas très compliqué, et il y a déjà de nombreux exemples de téléphones piégés de la sorte, mais pas à l’échelle de plusieurs milliers d’objets. Il est probable que les Israéliens ont eu le contrôle de toute la cargaison de bipeurs et autres à un moment donné de la chaîne d'approvisionnement, peut-être même dès l'origine via le contrôle d'une entreprise hongroise.
Dans tous les cas, la sophistication de l’attaque est assez bluffante, mais ce qui est important, c’est qu’elle ait réussi, puisque plusieurs milliers de cadres du Hezbollah et ceux qui étaient à proximité de l'explosion ont été blessés, parfois très gravement par les éclats, et même tués pour certains d’entre eux, onze au total dont deux enfants.
Première conséquence : les services de renseignement et clandestins redorent leur blason par une opération magistrale qui fait oublier leur échec indéniable du 7 octobre 2023, une attaque horrible dans ses effets, mais parfaitement organisée par le Hamas. Admiratifs, on tend aussi à oublier toutes les facettes sombres de l’opération Épées de fer, tout comme les raids commandos sur le canal de Suez faisaient oublier que la guerre ne se passait pas très bien.
Seconde conséquence, très concrète cette fois : une partie de la structure de commandement du Hezbollah se trouve paralysée, matériellement avec la disparition de son réseau paradoxalement censé être protégé par sa rusticité, mais surtout humainement. L’organisation se retrouve donc provisoirement en situation de vulnérabilité. On peut donc déjà se demander s’il s’agit d’un coup israélien isolé, profitant d’une opportunité, ou s’il s’agit d’une salve de neutralisation préalable au « changement radical à la frontière nord » annoncé par Benjamin Netanyahu il y a quelques jours.
Dans l’immédiat, tout en pansant ses plaies, le Hezbollah va très certainement lancer une enquête interne de sécurité pour comprendre ce qui a pu se passer et y remédier, ce qui pourrait se traduire par la recherche de traîtres et une purge, doublant ainsi les effets de l’attaque. Surtout, Hassan Nasrallah se retrouve une nouvelle fois devant un triple choix compliqué : céder aux exigences israéliennes en arrêtant toute attaque et même en retirant ses troupes du sud du Litani ; franchir le seuil de la guerre ouverte en lançant son arsenal à longue portée et en attaquant la frontière avec son infanterie ; ou continuer la petite guerre. L'humiliation du premier choix et la folie du second poussent forcément, depuis le début, Hassan Nasrallah à préférer prendre des coups sans trop broncher, mais sans rien céder.
Le gouvernement israélien considère de son côté avoir pratiquement terminé l’opération à Gaza, puisque le Hamas a été détruit tactiquement et que le territoire est désormais verrouillé et cloisonné par deux corridors. Les 98e et 36e divisions sont prêtes à être engagées au nord, ainsi que la totalité des forces aériennes et navales. Tout est prêt pour attaquer au Liban.
Lui aussi est confronté à un choix difficile : soit tout arrêter pour proposer un retour à la situation de paix méfiante d'avant le 7 octobre 2023, soit franchir le seuil de la guerre ouverte pour détruire autant que possible la menace du Hezbollah, soit continuer comme cela. La différence avec le Hezbollah est que tout pousse plutôt à choisir la première ou la dernière solution, mais pas à continuer ainsi. Bien que l'engagement à Gaza n'ait suscité aucune contestation, sinon sur la manière dont il a été conduit, une nouvelle guerre est jugée par beaucoup comme une aventure dangereuse, tandis que la libération des otages de Gaza devrait être la nouvelle priorité. D'un autre côté, la pression des émigrants du nord est très forte pour mettre fin à cette situation, et Benjamin Netanyahu a visiblement envie de continuer à jouer la carte de la tempête sous prétexte qu'il est capitaine à bord. Il bénéficiera de l'appui d'une bonne partie du complexe politico-militaire qui considère qu'il faut saisir l'occasion pour en finir avec la capacité offensive du Hezbollah après avoir détruit celle du Hamas.
Le brillant de l’« opération Bipeurs » masque peut-être un embarras israélien et le souhait de faire sortir le Hezbollah de la ligne du milieu afin soit de clamer victoire, soit de proclamer une nouvelle guerre défensive. Constatant que les spectaculaires coups d'éclat de 1969 n'avaient finalement rien changé à l'attitude égyptienne et refusant évidemment de céder, les Israéliens s’étaient alors lancés dans une campagne de bombardement du Caire. Quelques mois plus tard, ils affrontaient les Soviétiques.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Le prestige du Mossad n'a pas été altéré, c'est celui d'Aman et du Shabak....lors de l'affaire Khaled Mechaal je veux bien (et cela explique aussi l'animosité entre Netanyahu et l'Institut), mais dans le cas présent non.Première conséquence : les services de renseignement et clandestins redorent leur blason par une opération magistrale
Je suppose qu'il voulait écrire le en place de auTout est prêt pour attaquer au Liban.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Florentbzh a écrit : ↑ven. sept. 20, 2024 12:25 pm Je suppose qu'il voulait écrire le en place de au
"au" est correct syntaxiquement et me semble peut-être plus adéquat (ce n'est pas l'ensemble du pays et tous ses habitants qui sont ciblés, mais bien seulement le Hezbollah, qui se trouve sur le territoire du Liban).
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
justement..... diplomatiquement,c'est l'attaque d'un pays, utiliser "au" minimise la chose en la résumant à une portion géographique....on va certes rétorquer que c'est la partie litani qui intéresse Israël dans sa lutte contre le Hezbollah, mais en droit international c'est bel et bien attaquer un pays.
Bon, le Liban n'est plus qu'un état fantoche et attaquer le Hezbollah cela revient à attaquer les vrais dirigeants du Liban , mais il faut appeler un chat un chat:c'est une déclaration de guerre
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Boarf, une opération militaire spéciale, tout au plus.
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Re: Le mossad sonne toujours deux fois
Bonne remarque, j'ai jamais pensé pensé à aller regarder la définition de "spécial" dans le lexique de l'OTAN.
Spécial: illégal mais pas trop
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Cthulhu Invictus: Limes Obscurus. Certaines forêts sont plus sombres que d'autres
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