Archaos a écrit : ↑lun. avr. 21, 2025 5:08 pm
pelon a écrit : ↑lun. avr. 21, 2025 10:09 am
Dans mon souvenir, la Grande Campagne n'est pas un scenario écrit, c'est une trame des évènements avec des accroches pour broder ses propres scenarios.
En effet, mais j'ai lu quelque part que la nouvelle GC sera plus étoffée.
Elle pourra toujours l'être. Cependant, son principal avantage sera toujours le même, à savoir celui d'ordonnancer de A à Z la cbronologie pour ceux voulant jouer l'épopée arthurienne dans l'odre de ses événements.
Enfin, par rapport à la critique des personnages observateurs c'est tout sauf ça et, pour le coup, j'ai du mal à saisir qu'on puisse considérer que les dans la campagne du chevalier-gris les peronnages sont observateurs, ce pour deux raisons:
1) Ils peuvent être plus rapide que Gauvain est du coup être sa place, à savoir celle de poireauter en attendant le duel.
2) la plus bel part de l'aventure est, bien sûr, celle que feront les joueurs et sur laquelle j'éviterais de spoiler mais qui leur proposera une itinérance haute en couleur qui me parait Ô combien plus satisfaisante que d'attendre comme Gauvain qu'on lui rappporte une épée histoire d'avoir une chance de gagner.
De manière plus général, pour bien maîtriser le sujet puisque j'ai fait jouer trente ans de campagne il y a longtemps et que, présdentement, j'en suis a 60 ans sur la présente, les puissants chevaliers de la table ronde que les joueurs auront l'occasion de rencontrer représente, en fait, une excellente adversité et compétition pour s'élever. Quand on affronte Pellinore, Gauvain, Lamorak ou Tristan, oui, il y du challenge et du grand challenge, par contre, la récompense est là, aussi: on a vaincu les meilleurs.
J'ai beau être fan de mes joueurs, loin de moi l'idée de leur faciliter la tâche, aussi, quand l'un d'eux fit jeu égal avec Pellinore ou quand ils combattirent cote a cote avec Yvain le chevalier au lion pour libérer Arthur, quand l'un d'eux au même titre que gauvain fut choisi pour servir de garde du coprs a Arthur durant l'entrevue avec les sénateurs de Rome, ils en gardèrent de grands souvenirs.
De manière général il y a deux manières de jouer qui ne me satisfont guère tout jeux confondus:
- Celle d'abord ou les joueurs ne seront que les faire valoir ou les seconds rôles: Je n'y vois aucun intérêt.
- Celle où les joueurs sont assurés d'être les héros: je n'y vois aucun intérêt.
et une qui me plait:
- Celle où les joueurs peuvent devenir de grands héros, malgré la concurrence: Là j'y vois du défi!
(... et, ici, dieu sait s'il y en as entre les clans de Galles, les clans d'Orcanie et les clan de Ganis. Et tous ceux-là, sauf Lancelot sont prenable, même un 32 en épée, comme Gauvain en fin de carrière est accessible pour un personnage qui a vingt de campagne derrière lui)
Bref, pendragon est un jeu tellement riche et jouable de tant de façons qu'il ne faudrait pas se faire refroidir par des critiques qui, a mon avis, ne prennnent pas vraiment sens au regard des mécaniques du jeu, qui permettent de faire évoluer des personnages de manière extraordinaires, de jouer des aventures variés et merveilleuses et d'alterner entre différentes ambiances.... sans même citer l'aspect dynastique qu'on ne trouve guère ailleurs.
Je rajouterais un point sur les grands chevaliers de la Légende, ceux-ci, à mon sens gagnent a être mise en scène, qu'ils soient compagnons d'armes, adversaires, écuyer a un moment donné d'un joueur ou bien maître de celui-ci a un autre, au fond, ils proposent un beau panel de PNJ et il faut balyer toute timidité a les mettre en scène ou tout sacré, d'ailleurs: hors Lancelot aucun n'a vocation a être impossible a dépasser, ni, d'ailleurs a être exempt d'erreurs et de défauts, les légendes le montrent fort bien!