CR T&T2 : Chasseurs de Démons
Publié : lun. mai 16, 2011 1:11 pm
Voila un petit compte-rendu de scénar que j'ai fais jouer ce WE en compagnie de LG, de sa chère et tendre, de sa fille, et de ma douce.
écrit en une demi-heure (disons une heure avec la fabrication des pré-tirés), joué en deux heures/ deux heures et demi.
Ndr : le Goupil est une création perso de peuple, inspiré de Renart et des Kitsuné- fait aussi à la volée juste avant la partie.
Ndr 2 : C'est LG qui raconte.
Préambule :
MJ : Paradoks
Joueurs : Camille (Épine, goupil marchande), Anne (Vidaste, humain voleur), Meredith (Belfala, elfe rôdeuse avec son loup, Dolios), LG (Jorge Bana, taurens guerrier de l’ordre de la Corne rouge – une de mes cornes est peinte en rouge)
Comment nous sommes-nous rencontré : Épine et moi avons tenté de voler un magicien ; Épine a embauché Vidaste pour nous aider ; Vidaste et Belfala étaient amants ; Belfala et moi avons sauvé une sorcière du bûcher – c’est elle qui nous a donné le plan du magicien.
Le col des furies
Suite à nos dernières aventures, le cambriolage notamment , nous avons décidé de nous mettre au vert – en urgence – et de rejoindre une baronnie voisine, les marches de l’aube, en traversant des montagnes appelées le Glacier des Songes. L’objectif, c’est une grande foire dans une ville appelée Nineveh, de quoi écouler notre magot et trouver de bonnes affaires et du travail.
La traversée du glacier n’est guère facile. Il fait froid et ça glisse. Belfala nous guide, forcément, et elle remarque bientôt qu’une tempête de neige arrive sur nous alors que nous ne sommes pas encore arrivé au col. Un bref instant de panique (« Mon pognon, mon pognon » hurle Épine), mais Belfala tente de trouver une grotte pour nous abriter (réussi : elle trouve une grotte ; raté : elle trouve la grotte mais la tempête est déjà sur nous !)
Aïe ! Le temps se détériore vraiment très vite ! La grotte qu’elle repère est loin et le temps qu’on y arrive, les vents et la neige nous talonnent. J’ai du mal à suivre le rythme du groupe (trop lourd). On entend des bruits de rapaces dans le vent. Nous dégainons nos armes.
Soudain je glisse, je tombe et je prend une pente – ma demi-plaque sert de luge. Je disparais dans la neige et le blizzard. Mais ce faisant, j’ai de la chance : j’ouvre une route rapide (et inattendue) vers la grotte. Épine saute sur mon ventre pour accompagner le mouvement. Les autres suivent tant bien que mal.
Je ne suis plus qu’à quelques mètres de la grotte quand une serre se saisit de mon bras, me fait dévier et me projette contre un gros rocher tandis que Épine est éjecté dans la neige. J’ai des envies de voir le sang couler.
Ce sont des chouettes géantes, blanches, avec un visage de femme. Leurs présences menaçantes, que l’on devine plus qu’on ne les voit. Je protège le recul de mes compagnons vers la grotte en faisant des moulinets de ma grande épée. Mais la neige nous gène ! Épine parvient à s’abriter, mais Belfala et Vidaste n’arrivent pas à contrer le vent – les amoureux sont poussés loin de nous, perdus dans la neige.
Les furies me tombent dessus et je me fais larder les bras. Je fonce vers mes compagnons pour essayer de les protéger – mes coups d’épées leur assure une bonne protection contre les monstres volants. Vidaste a malheureusement perdu conscience. On parvient tant bien que mal à rejoindre la grotte. Les Furies sont furieuses et n’approchent pas de la grotte. Je garde l’entrée tandis que Belfala tente de monter un camp et de nous protéger. Elle bat le briquet.
La grotte est étonnamment ouvragée, comme s’il s’agissait d’une construction. Au fond, une arche de glace et un couloir qui s’enfonce dans les ténèbres. On essaie de réveiller Vidaste, mais il a été sérieusement atteint par le froid. Moi, je l’ai un peu mauvaise d’avoir été blessé sans seulement avoir pu trancher une seule de ces salopes. Je ressors un instant dans la neige et le vent pour les attirer et tenter de les buter ! Épine pense soudainement que les plumes des poulets valent cher auprès des magiciens. J’ai du mal à voir clair dans la tempête et les furies en profite. Je suis encore touché. Épine est un poil flippée, mais elle tente de me filer un coup de main en balançant des caillasses. Sauf que j’entends un cri, un mouvement d’aile et elle se retrouve figée dans la glace ! (échec critique).
Je donne un coup d’épée dans la glace, mais Épine se prend la lame – emporté par mon élan, j’ai pas mesuré ma force (échec critique encore). Elle est bien blessée ! Oups ! Je l’aide à rentrer dans la grotte et je retourne latter. J’en touche une et la neige se teinte de rouge. Je double immédiatement et je l’empale pour la retenir. Mais elle parvient à fuir dans une bourrasque de vent ! Rah ! Charogne ! Je parviens tout de même à trouver une plume (une sorte de gros glaçon taillé en forme de plume – on dit qu’une cape en plume de furie des glaces protège des froids les plus extrêmes).
Je reflue dans la grotte un peu dépité. La tempête redouble de puissance – peut-être parce que j’ai blessé la furie.
écrit en une demi-heure (disons une heure avec la fabrication des pré-tirés), joué en deux heures/ deux heures et demi.
Ndr : le Goupil est une création perso de peuple, inspiré de Renart et des Kitsuné- fait aussi à la volée juste avant la partie.
Ndr 2 : C'est LG qui raconte.
Préambule :
MJ : Paradoks
Joueurs : Camille (Épine, goupil marchande), Anne (Vidaste, humain voleur), Meredith (Belfala, elfe rôdeuse avec son loup, Dolios), LG (Jorge Bana, taurens guerrier de l’ordre de la Corne rouge – une de mes cornes est peinte en rouge)
Comment nous sommes-nous rencontré : Épine et moi avons tenté de voler un magicien ; Épine a embauché Vidaste pour nous aider ; Vidaste et Belfala étaient amants ; Belfala et moi avons sauvé une sorcière du bûcher – c’est elle qui nous a donné le plan du magicien.
Le col des furies
Suite à nos dernières aventures, le cambriolage notamment , nous avons décidé de nous mettre au vert – en urgence – et de rejoindre une baronnie voisine, les marches de l’aube, en traversant des montagnes appelées le Glacier des Songes. L’objectif, c’est une grande foire dans une ville appelée Nineveh, de quoi écouler notre magot et trouver de bonnes affaires et du travail.
La traversée du glacier n’est guère facile. Il fait froid et ça glisse. Belfala nous guide, forcément, et elle remarque bientôt qu’une tempête de neige arrive sur nous alors que nous ne sommes pas encore arrivé au col. Un bref instant de panique (« Mon pognon, mon pognon » hurle Épine), mais Belfala tente de trouver une grotte pour nous abriter (réussi : elle trouve une grotte ; raté : elle trouve la grotte mais la tempête est déjà sur nous !)
Aïe ! Le temps se détériore vraiment très vite ! La grotte qu’elle repère est loin et le temps qu’on y arrive, les vents et la neige nous talonnent. J’ai du mal à suivre le rythme du groupe (trop lourd). On entend des bruits de rapaces dans le vent. Nous dégainons nos armes.
Soudain je glisse, je tombe et je prend une pente – ma demi-plaque sert de luge. Je disparais dans la neige et le blizzard. Mais ce faisant, j’ai de la chance : j’ouvre une route rapide (et inattendue) vers la grotte. Épine saute sur mon ventre pour accompagner le mouvement. Les autres suivent tant bien que mal.
Je ne suis plus qu’à quelques mètres de la grotte quand une serre se saisit de mon bras, me fait dévier et me projette contre un gros rocher tandis que Épine est éjecté dans la neige. J’ai des envies de voir le sang couler.
Ce sont des chouettes géantes, blanches, avec un visage de femme. Leurs présences menaçantes, que l’on devine plus qu’on ne les voit. Je protège le recul de mes compagnons vers la grotte en faisant des moulinets de ma grande épée. Mais la neige nous gène ! Épine parvient à s’abriter, mais Belfala et Vidaste n’arrivent pas à contrer le vent – les amoureux sont poussés loin de nous, perdus dans la neige.
Les furies me tombent dessus et je me fais larder les bras. Je fonce vers mes compagnons pour essayer de les protéger – mes coups d’épées leur assure une bonne protection contre les monstres volants. Vidaste a malheureusement perdu conscience. On parvient tant bien que mal à rejoindre la grotte. Les Furies sont furieuses et n’approchent pas de la grotte. Je garde l’entrée tandis que Belfala tente de monter un camp et de nous protéger. Elle bat le briquet.
La grotte est étonnamment ouvragée, comme s’il s’agissait d’une construction. Au fond, une arche de glace et un couloir qui s’enfonce dans les ténèbres. On essaie de réveiller Vidaste, mais il a été sérieusement atteint par le froid. Moi, je l’ai un peu mauvaise d’avoir été blessé sans seulement avoir pu trancher une seule de ces salopes. Je ressors un instant dans la neige et le vent pour les attirer et tenter de les buter ! Épine pense soudainement que les plumes des poulets valent cher auprès des magiciens. J’ai du mal à voir clair dans la tempête et les furies en profite. Je suis encore touché. Épine est un poil flippée, mais elle tente de me filer un coup de main en balançant des caillasses. Sauf que j’entends un cri, un mouvement d’aile et elle se retrouve figée dans la glace ! (échec critique).
Je donne un coup d’épée dans la glace, mais Épine se prend la lame – emporté par mon élan, j’ai pas mesuré ma force (échec critique encore). Elle est bien blessée ! Oups ! Je l’aide à rentrer dans la grotte et je retourne latter. J’en touche une et la neige se teinte de rouge. Je double immédiatement et je l’empale pour la retenir. Mais elle parvient à fuir dans une bourrasque de vent ! Rah ! Charogne ! Je parviens tout de même à trouver une plume (une sorte de gros glaçon taillé en forme de plume – on dit qu’une cape en plume de furie des glaces protège des froids les plus extrêmes).
Je reflue dans la grotte un peu dépité. La tempête redouble de puissance – peut-être parce que j’ai blessé la furie.